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Frôler la mort pour mieux saisir la vie {Reginald}
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Demi-déesse (STAFF)
Dorothée A.
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Dorothée A. "R" Kingsley
Demi-déesse (STAFF)
Sam 23 Fév - 12:10
Tes talons tapaient furieusement contre le mur de l’immeuble, bouc émissaire de ton hyperactivité. Tes grands yeux sanglants fixés sur l’horizon, tu te tenais assise sur le bord du toit, insensible à la hauteur, indifférente au danger qui pesait sur tes frêles épaules. Tu te fichais royalement de mettre ta vie en danger. Ou plutôt, non. Tu ne t’en fichais pas. Tu le souhaitais. Cet afflux d’adrénaline, alors que ton esprit sentait la mort approcher, le danger te guetter… C’était si agréable. Si vivifiant. Tu te sentais alors vivante. Car, pour avoir peur, pour avoir mal, il fallait bien l’être, non ?

Ten little nigger boys went out to dine
One choked his little self, and then there were nine. ♪


Cette comptine, tu la connaissais par coeur. Papa avait le livre dans sa bibliothèque. Tu l’avais tellement lu qu’aujourd’hui encore, tu te souvenais distinctement des paroles. Et tu étais par ailleurs du genre à chanter ce type de chanson morbide, en tout connaissance de cause. C’était probablement ce qui te définissait le plus comme creepy. Ah, mais tous ces gens qui chantaient ces comptines à double sens. Si seulement ils savaient, plus jamais ils n’oserait prononcer les paroles à leurs enfants.

Nine little nigger boys sat up very late
One overslept himself, and then there were eight. ♪


Ta petite voix fluette ne portait guère loin, mais l’objectif n’était pas d’être entendue. Tu chantais simplement par envie, pour le plaisir. Pour passer le temps, toi qui n’avait personne avec qui le partager. Ton regard suivit le vol d’un oiseau, jusqu’à ce qu’il disparût derrière une maison. Le vent ébouriffa ta chevelure immaculée. Quelques mèches rebelles se retrouvèrent devant tes yeux ; tu les chassais en soufflant dessus, riant, exultant, sans aucune raison.

Eight little nigger boys traveling in Devon
One said he'd stay there, and then there were seven. ♪


Et si tu arrivais jusqu’à zéro, que se passerait-il ? C’était quelque chose d’amusant à définir. Tu te penchas un peu pour admirer la vue en dessous de tes petits pieds. L’immeuble faisait cinq étages et devait bien avoisiner les dix mètres. Une chute assurément mortelle au moindre faux pas. Se jeter dans le vide ? Si la sensation serait assurément plus vivifiante que jamais, la finalité te paraissait un peu trop définitive.

Seven little nigger boys chopping up sticks
One chopped himself in half, and then there were six. ♪


Par contre, tu pouvais aisément t’imposer un défi, une fois ta chanson terminée. Et comme ça te plaisait, tu augmentas le rythme. Plus vite, plus vite.

Six little nigger boys playing with a hive
A bumble-bee stung one, and then there were five.
Five little nigger boys going in for law
One got in chancery, and then there were four.
Four little nigger boys going out to sea
A red herring swallowed one, and then there were three.
Three little nigger boys walking in the zoo
A big bear hugged one, and then there were two.
Two little nigger boys sitting in the sun
One got frizzled up, and then there was one. ♪


Tu te redressas sur tes jambes, un sourire niais figé sur tes lèvres, tes yeux rouges tranchant sur la pâleur de ta peau. Le vent fit claquer ta robe noire. Tu écartas les bras en croix pour stabiliser ton équilibre précaire sur cette bordure étroite. La pointe de tes pieds n’avait aucun support. Tu distinguais des silhouettes en bas qui s’afféraient, indifférentes. Personne ne s’inquiétait jamais pour toi, de toute manière. Ils aimeraient tous que tu meurs. Ils te détestaient. Ils avaient peur de toi. Personne ne voulait de toi, à part papa. Papa.

One little nigger boys living all alone
He went and hanged himself and then… ♪


Tu levas un pied devant toi. Ton autre jambe tremblait, soutenant difficilement le poids de ton corps à elle seule alors que tu n’avais plus qu’une petite surface de contact avec le sol. Et ton coeur battait si fort dans ta poitrine. L’adrénaline le stimulait. La peur se frayait un chemin vers ton coeur, et ton esprit te hurlait de reculer. Mais tu n’en avais pas envie.

... and then there were none.
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Reginald Oak
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Sam 23 Fév - 14:00






Frôler la mort pour mieux saisir la vie

Le satyre ne faisait que rentrer chez lui, à la base. À sa petite maison, dans la ville ; il y allait tellement peu souvent, il fallait dire, que quand il revenait enfin, cela commençait par une grande séance de nettoyage intensif. Et il le savait ! Reginald savait qu'il devrait prendre un peu plus soin de son chez-lui, dans le quartier sud, et ne pas laisser une montagne de poussière se former dans tous les coins, mais il était tellement mieux à sa place, dans la forêt, que cet appel sylvestre était plus fort que lui, que ses bonnes résolutions. Il ne pouvait rien y faire. Un long soupire s'échappa d'entre ses lèvres, remettant en place sa sacoche à bandoulière, quand ses oreilles, très affûtées au moindre soin dans un certain périmètre, repérèrent quelque chose.

Un chant ? Cela y ressemblait, du moins. Une petite voix fredonnait, et, un nouvel appel instinctif, celui de la musique, s'empara du brun et il se dirigea en direction de cet air. Ne faisant même pas attention au fait qu'il venait de rater la rue pour aller chez lui, il fut emporté, quand il déchiffra les paroles. Oh, cette chanson, il l'avait déjà entendu . . . Le semi-bouc n'aimait pas les propos de celle-ci. Il l'a trouvait glauque, et le texte avec.

Quand, du coin de l’œil, il sembla détecter quelque chose, alors il leva les yeux : Une fille, là, debout, sur le toit d'un immeuble, beaucoup trop proche du bord. Mais vous saviez, ce qu'il y avait de plus choquant ? C'était ces gens. Oui, ces personnes, juste là ; ils l'a voyaient, prête à faire le saut de l'ange, néanmoins, aucun d'entre eux ne semblait vouloir bouger le moindre petit doigt pour, au moins, l'a dissuader de se laisser tomber. Ils n'avaient rien à faire d'elle. Cette enfant !

Une pure panique, un effroi sans nom s'empara de Reginald alors que la jeune fille aux cheveux blanchâtres venait de faire un mouvement, un pied suspendu dans le vide. Elle allait le faire ! Si personne n'agissait, elle allait le faire ! En réflexe, il courra, le son de ses sabots résonnant dans l'avenue, se positionnant, techniquement, au lieu où devrait tomber la jeune fille, si elle plongeait. Et bien évidemment, dans les gens autour, malgré son action, personne n'avait bougé. La créature n'était clairement pas du genre à penser du mal des autres sans les connaître, mais aujourd'hui était un cas particulier.

Ne sachant comment l'appeler, n'étant averti de son nom, il prit la première chose qui lui vint à l'esprit. Mais que devait-il aussi lui dire ? De ne pas sauter ? Mais c'était évident, bon sang ! Et peut-être qu'elle lui répondrait par une question, du genre, pourquoi devrait-elle ne pas le faire ? Il ne l'a connaissait pas, il ne pouvait donc bien argumenter. Trop de réflexions inutiles venaient de lui polluer l'esprit, sous la peur, l'anxiété de l'instant. S'il n'agissait pas rapidement, elle . . . !


Jeune fille ! Cria-t-il, assez pour qu'elle puisse l'entendre. Je t'en prie, repose le pied à terre ! Je te promets que cela n'est pas une solution !


Le professeur ne savait même plus ce qu'il disait, si cela était bien ou mal, utile ou non. Il énumérait juste ce qui lui semblait cohérent, en espérant que cela dissuade assez la jeune fille, ou bien l'a ramène à la raison.

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Demi-déesse (STAFF)
Dorothée A.
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Demi-déesse (STAFF)
Sam 23 Mar - 9:53
… And then there were none ♪

Les yeux fermés, un pied au dessus du vide, l'autre maintenant ton équilibre sur l'étroite bordure du toit en tremblant, tu fis mine de basculer, poussant le jeu toujours plus loin, défiant la mort avec toujours plus de zèle. Tu amorças au dernier moment un mouvement de recul, lorsque tu sentis la gravité atteindre son paroxysme. Un cri retentit à cet instant précis. Tu ouvris les yeux, intriguée, pour savoir qui s'egosillait de la sorte. La voix, inquiète, provenait d'en bas. Ton regard glissa sur les fourmis en contrebas, avant de répéter une silhouette, la tête levée, qui te fixait désespérément. Tiens, que faisait ce petit satyre ? Pourquoi te regardait-il de la sorte ? Tu penchas la tête sur le côté. Une solution ? De quoi parlait-il ?

Oh. Il pensait que tu allais sauter ? C'est vrai que ça y ressemblait. Mais tu ne souhaitais pas mourir pour autant. Tu n'avais pas d'amis. Pas de famille. Maman ne s'intéressait pas à toi. Elle devait se dire que tu étais une vilaine fille. Que tu ne méritait pas son attention. Malgré tout, une force te poussait à continuer. Elle te disait que la vie ne se limitait pas au malheur, qu'elle avait encore des choses à offrir et qu'il fallait aller de l'avant. Alors, oui, tu avais eu envie de retrouver Papa. Mais tu écoutais cette petite voix dans ta tête. Tu aimais penser que c'était Maman qui te soutenais, et tu ne voulais pas la décevoir. Tu reposas ton pied sur le rebord et croisas les mains dans ton dos avant de te pencher.

"T'es qui toi ?"

Ta petite voix fluette avait du mal à porter avec la distance. Tu ne savais pas s'il t'avait entendu, mais tu fis tout comme. Tu posas un index sur ton menton en clignant des yeux. Pourquoi lui, parmi tous les autres, était le seul à se préoccuper de ton sort ? D'habitude les gens se fichaient bien de ce qui pouvait t'arriver. Alors pourquoi lui plus qu'un autre ?

"Pourquoi tu cris comme ça ?"

Tu faisais semblant, alors que tu avais parfaitement compris ses intentions. En réalité, tu le trouvais amusant, avec ses petites cornes. Et des sabots qui trépignaient. Les satyres étaient de drôles de créatures tout de même. Tu les aimais bien, ils étaient gentils en général. En tout cas aucun d'eux ne t'avait embêté jusque là. Et donc, tu voulais t'amuser encore plus. Le faire tourner en bourrique. Ou plutôt… Le rendre chèvre. Chèvre, bouc, satyre…. Tu éclatas de rire, satisfaite de ton jeu de mot intérieur. Bien évidemment, personne ne pouvait comprendre l'origine de cette soudaine hilarité. Mais peu importait.

"Tu veux jouer avec moi ?"

Tu fis pivoter tes talons pour te mettre de profil sur la bordure. Elle était juste assez larger pour accueillir tes deux pieds serrés l'un contre l'autre. Tu étendis les bras en croix de chaque côté pour améliorer ton équilibre. Puis ta jambe droite se souleva pour se poser un pas en avant. Puis la gauche. Pouvais-tu y arriver à cloche-pied ?
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Reginald Oak
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Reginald Oak
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Sam 23 Mar - 12:54






Frôler la mort pour mieux saisir la vie

Cela ressembla à une éternité. Une éternité dans laquelle Reginald fixait la jeune fille aux cheveux immaculés, les passants ne leur faisant guère attention, ne leur accordant même pas un regard, le satyre ayant les yeux inquiets au possible, prêt à intervenir à tout dérapage de sa part. Il s'en voudrait tellement, si elle sautait et qu'il . . . Et qu'il n'avait pas été capable de la sauver. Une mort sur la conscience ; et puis quoi d'autre, encore ! La créature n'avait clairement pas besoin de ça en plus ! D'ailleurs, il fût plus que soulagé quand elle remit les deux pieds à terre. Enfin, à terre ; sur le toit plat de l'immeuble. Étant doté de très bonnes oreilles – on remercie le côté bouc pour ce petit plus non négligeable –, il put aisément entendre et comprendre ce qu'elle lui dit, de sa petite voix, perchée à cette hauteur.


Je m'appelle Reginald ; Reginald Oak. L'homme patienta quelques instants, quand elle entama sa seconde question. Pourquoi je cris ? Mais parce que tu allais sauter !


La réponse lui semblait tellement évidente ! Pourquoi crierait-il, sinon ? Pourquoi aurait-il un air si affolé sur le visage ? Pourquoi serait-il prêt à charger à n'importe quel moment si elle tombait ? Certains diront que c'était de la faute à son empathie naturelle ; que ce n'était pas lui qui parlait, mais son côté animale. Ce qui était plutôt ironique, comme phrase, quand on y réfléchissait bien . . . Mais le brun, lui, répondrait qu'il n'y a pas que ça, qu'il y a aussi de lui-même. De son âme, de son cœur, de sa raison, de sa bonne conscience. Quelle personne, on vous le demande ! Quelle personne censée laisserait une fille, si jeune, se tuer ? On vous le demande ! D'autant plus pour un professeur tel que Reginald l'était. C'était inadmissible. Impensable.

Puis la fillette, qui avait semblé être plongée dans de profondes pensées le temps d'un instant, se mit à rire aux éclats. L'enseignant haussa un sourcil, ne comprenant le pourquoi du comment de l'origine. Mais, honnêtement, il n'y avait-il pas plus urgent à penser ? Si. Très clairement ; si.

À ses paroles qui suivirent, il fût quelque peu surpris. Jouer ? Avec elle ? De quoi est-ce qu'elle parlait ? Et de quel jeu, d'ailleurs ? Si c'était lui faire frôler la crise cardiaque en faisant semblant de tomber pour de bon, alors là, non ! Et comment la demi-déesse avançait ainsi sur la bordure du toit ne le rassurait pas du tout. Au cas où, il la suivait, tentant à chaque fois d'être au possible point d'impact.


De quoi parles-tu ? Finit-il par demander, d'un ton aux frontières de l'inquiétude et du sérieux.

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Dorothée A. "R" Kingsley
Demi-déesse (STAFF)
Dim 5 Mai - 19:37
Le soulagement se peignit sur les traits du satyre alors que tu te montrais raisonnable. Comme c'est étrange. Pourquoi tenait-il tant à toi ? Vous n'étiez que des étrangers l'un pour l'autre. Il avait quelque chose de différent des autres, c'était une certitude. Il se désigna sous le nom de Reginald Oak. Tu penchas la tête sur le côté. Ce nom te semblait vaguement familier… Cependant tu serais incapable de dire où, quand et dans quelles circonstances tu l'avais entendu.

Puis il répondit à ta seconde question. Sauter ? Tu éclatas de rire. Toi sauter ? Mais pourquoi ? La vie était bien moche, mais elle ne méritait aucun sacrifice. Tu n'allais pas te tuer pour si peu. Tu aurais bien voulu revoir Papa, c'est vrai. Mais lui n'aurait pas aimé te voir dans les champs d'asphodèle si tôt, parce que tu t'étais ôté la vie. Quelque part dans ton esprit malade et ton cœur en miette, tu savais qu'il souhaite que tu vives aussi longtemps que possible. Dans la joie et la bonne humeur, certainement, mais ça, c'était impossible tu le savais. Parce qu'il fallait avoir des gens à aimer, qui aimaient en retour. Et ceux qui étaient gentils avec toi finissaient toujours mal.

"Sauter ? Pourquoi je ferais une chose pareille ?"

Il n'avait bien évidemment pas la réponse à cette question. Il ne pouvait pas deviner. Il ne savait même pas que ce petit jeu du chat et de la souris avec la mort, tu étais une professionnelle depuis un an. Combien de fois l'avais-tu narguée ? Et chaque fois tu t'en étais tirée saine et sauve. La poussée d'adrénaline te faisait toujours un effet bénéfique. Tu te sentais alors vivante. Parce que pour avoir et pour souffrir, il fallait être en vie. Plutôt que d'attendre une réponse, tu enchaînas en lui proposant un jeu. Il te demanda de préciser. Ah, bonne question que voilà. À quoi pourriez-vous jouer ? Tu fis mine de réfléchir, un index sur le menton. Puis tu dressas ton doigt vers le ciel.

"Ah je sais ! Tu vas deviner mon prénom."

Voyons, quelles règles pourrais-tu donner ? Quelque chose de bien amusant, et intéressant. Il fallait une difficulté conséquente, sinon il n'aurait aucun mérite. Une charade ? C'était fait pour être dit à l'orale. Non. Il fallait autre chose. Un mime peut-être ? Bof tu n'étais pas très bonne. Il devait quand même avoir une chance de trouver la bonne réponse. Oh ! La solution t'apparut comme une évidence.

"On va faire un pendu ! Mais avec des règles spéciales, vu qu'on n'écrit pas. À chaque mauvaise lettre, je m'approche un peu plus du bord. Et si tu perds… Hihi. Je te laisserai découvrir."

Tu reculas de quelques pas, de sorte à être en sécurité. Après tout, on ne commençait pas un pendu en dessinant la corde en premier lieu !

"Alors, il y a huit lettres, et la première est un D. Allez, à toi !"

Tu redressas le menton, le cou tendu pour mieux l'entendre. Un pendu à l'oral, ça, c'était original ! Et comme il n'avait rien sur lui pour écrire, il devrait tout garder en tête. Il y avait du challenge, c'était exactement ce que tu souhaitais.
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