name eleonor greene – nickname leo – age 23 y.o – birthplace los angeles – ancestry ares' child – job seeker – orientation greysexual – feat hana (dCTb)
(force) tu es tellement plus forte que ce que ta silhouette laisse paraître, tu pourrais facilement briser des os si tu le voulais et plus encore. alors tu te dois de te contrôler, te restreindre au quotidien
(insensibilité) tu connais la douleur, tu la côtoies régulièrement, mais même si ton épiderme se pare de bleus, ce n'est jamais plus qu'un fourmillement désagréable. bien sûr ce n'est que pour les coups, dès que ton sang apparaît c'est là une toute autre histoire
(aura de colère) tu peux réveiller la colère chez les autres, celle toujours là que l'on est bien content d'ignorer. il te suffit d'être assez près et le bouillonnement apparaît, un contact et le feu vous embrase
(arme) tu manies cette hallebarde plus grande que toi avec la facilité et l'habilité qui te sont propres
(défaut fatal) cette fierté mal placée te mènera à ta perte, tu le sais, et pourtant, qu'il est bon de se sentir toute puissante
(insensibilité) tu connais la douleur, tu la côtoies régulièrement, mais même si ton épiderme se pare de bleus, ce n'est jamais plus qu'un fourmillement désagréable. bien sûr ce n'est que pour les coups, dès que ton sang apparaît c'est là une toute autre histoire
(aura de colère) tu peux réveiller la colère chez les autres, celle toujours là que l'on est bien content d'ignorer. il te suffit d'être assez près et le bouillonnement apparaît, un contact et le feu vous embrase
(arme) tu manies cette hallebarde plus grande que toi avec la facilité et l'habilité qui te sont propres
(défaut fatal) cette fierté mal placée te mènera à ta perte, tu le sais, et pourtant, qu'il est bon de se sentir toute puissante
(caractère) blablabla blablabla blablabla
you are your father's daughter
(histoire) ça n'a jamais été que vous. dans tes premiers souvenirs, vous étiez deux. un visage parfois restait quelques mois, mais il disparaissait toujours. c'était naturel pour toi. tu savais pourtant que pour les autres enfants, ça ne l'était pas. non, eux, ils étaient trois ou plus. alors t'as fini par demander. t'as demandé à mama pourquoi papa n'était pas là, pourquoi il n'avait jamais été là. t'as pas eu de réponse ce jour-là. “tu es trop petite”, t'a-t-elle dit, “tu comprendras plus tard”. puis elle t'a souri et t'es retournée jouer.
t'as vite compris que tu n'étais pas normale. les autres enfants aussi. alors t'es vite devenue la 'bizarre', celle qui comprenait rien et tenait pas en place. mais qu'est-ce que t'y pouvais ? mama t'avait emmenée voir des spécialistes et ils avaient rapidement trouvé. d'indisciplinée tu es devenue hyperactive, d'en retard sur tes camarades tu es devenue dyslexique. un soulagement pour les adultes, une mise à mort pour toi. car ils ont commencé à te chouchouter, te pardonner même les erreurs volontaires. et les enfants ne t'ont regardé que plus mal encore. c'est là que t'as commencé à te battre.
au début, tu te défendais juste. un coup de coude lorsqu'ils tiraient tes cheveux blonds, une morsure quand ils te coinçaient dans la cour, et bien d'autres encore. puis tu t'es énervée. t'as décidée de ne plus être la victime de leur bêtise. alors t'as tapé. t'as frappé avant qu'ils puissent le faire, couru avant qu'on ne te remarque. mais on te remarquait toujours. on a gentiment demandé à ta mama de te changer d'école. une fois. puis deux, trois, quatre et tu as fini par perdre le fil. et toujours elle avait cette nostalgie au fond des yeux quand elle te regardait et te disait.
“tu es la fille de ton père.”
dieux que tu l'as entendu cette phrase. mais jamais ne t'a-t-elle dit qui était ton père. tu n'as pas vraiment cherché, juste présumé qu'il te ressemblait physiquement sans jamais savoir que c'était tout bonnement faux. parce que de ce père que tu n'as jamais connu on ne t'a rien dit, rien montré. alors ce n'est qu'un vestige d'un passé qui t'est inconnu bien trop attaché à ton histoire. un de ces vestiges dont tu te serais passée si on t'avait donné le choix.
la révélation n'a fait que plus mal. la collision entre les deux mondes plus brutale encore. parce que tu t'attendais pas à ça, que mama t'avait rien dit. qu'elle était bienheureuse, ton innocence qui a volée en éclat face à cette créature, ce monstre. t'as pas bien compris quand tu l'as vu approcher. t'as pensé à une hallucination, que t'étais devenue folle. puis y a eu le bruit, l'odeur qui venaient de ce truc et là, t'as juste couru. t'as couru comme jamais avant, t'as poussé sur tes jambes jusqu'à ce que les muscles tirent, que tu aies envie de vomir. mais tu préférais encore ça à ce cauchemar qui te poursuivait.
t'avais fini par le semer. tu savais pas trop comment ni au bout de combien de temps, mais tu l'avais fait. t'en avais pas parlé à mama. à quoi bon ? ça ne pouvait qu'être ton imagination, ça ne pouvait pas exister pour de vrai. et pourtant tu t'es faite poursuivre plusieurs fois, par des monstres toujours différents. t'as bien fini par te douter que tu n'aurais pas dû être capable de te sauver ainsi, que quelqu'un devait veiller sur toi. t'as fini par rencontrer cet inconnu, enfin, cette inconnue. tu l'avais vu s'approcher, t'observer puis t'appeler par ton prénom. elle n'aurait pourtant pas dû te connaître, t'en étais sûre. mais voilà, elle savait qui tu étais. elle disait vouloir parler à ta mère, que seulement là elle répondrait à tes questions. et t'as vite compris qu'elle ne te laissait pas vraiment le choix.
la conversation entre cette femme et mama, tu l'as pas vraiment comprise. il y avait trop d'éléments irréels, trop de choses censées être impossible pour que tu réalises vraiment. tu savais juste qu'il fallait que tu partes, que ce serait plus sûr. que mama était d'accord, qu'elle se doutait que ça n'allait pas tarder à arriver. mais qu'elle aurait voulu que ce soit plus tard encore, que quinze ans avec toi ce n'était pas assez. plus tard, une fois que les choses furent mises à plat et préparées, elle t'a souri. un sourire triste et enjoué à la fois. tu n'aurais su dire pour les larmes dans ses yeux. puis elle a ouvert la bouche et avant même que le moindre son quitte ses lèvres, tu savais ce qu'elle allait dire.
“tu es la fille de ton père.”
alors t'es partie. t'es partie et tu as découvert Ierótheón, d'autres comme toi, une place pour toi. t'as fini par prendre les armes, t'es dirigée vers le combat. après tout, tu es la fille de ton père. mais tu es aussi bien plus que ça. tu as décidé de mener la guerre pour les autres, pour ceux qui sont à la même place qui était la tienne il y a déjà huit ans. tu es devenue un seeker, combattant les monstres de l'ancien temps pour assurer le futur des héros des temps modernes.
t'as vite compris que tu n'étais pas normale. les autres enfants aussi. alors t'es vite devenue la 'bizarre', celle qui comprenait rien et tenait pas en place. mais qu'est-ce que t'y pouvais ? mama t'avait emmenée voir des spécialistes et ils avaient rapidement trouvé. d'indisciplinée tu es devenue hyperactive, d'en retard sur tes camarades tu es devenue dyslexique. un soulagement pour les adultes, une mise à mort pour toi. car ils ont commencé à te chouchouter, te pardonner même les erreurs volontaires. et les enfants ne t'ont regardé que plus mal encore. c'est là que t'as commencé à te battre.
au début, tu te défendais juste. un coup de coude lorsqu'ils tiraient tes cheveux blonds, une morsure quand ils te coinçaient dans la cour, et bien d'autres encore. puis tu t'es énervée. t'as décidée de ne plus être la victime de leur bêtise. alors t'as tapé. t'as frappé avant qu'ils puissent le faire, couru avant qu'on ne te remarque. mais on te remarquait toujours. on a gentiment demandé à ta mama de te changer d'école. une fois. puis deux, trois, quatre et tu as fini par perdre le fil. et toujours elle avait cette nostalgie au fond des yeux quand elle te regardait et te disait.
“tu es la fille de ton père.”
dieux que tu l'as entendu cette phrase. mais jamais ne t'a-t-elle dit qui était ton père. tu n'as pas vraiment cherché, juste présumé qu'il te ressemblait physiquement sans jamais savoir que c'était tout bonnement faux. parce que de ce père que tu n'as jamais connu on ne t'a rien dit, rien montré. alors ce n'est qu'un vestige d'un passé qui t'est inconnu bien trop attaché à ton histoire. un de ces vestiges dont tu te serais passée si on t'avait donné le choix.
la révélation n'a fait que plus mal. la collision entre les deux mondes plus brutale encore. parce que tu t'attendais pas à ça, que mama t'avait rien dit. qu'elle était bienheureuse, ton innocence qui a volée en éclat face à cette créature, ce monstre. t'as pas bien compris quand tu l'as vu approcher. t'as pensé à une hallucination, que t'étais devenue folle. puis y a eu le bruit, l'odeur qui venaient de ce truc et là, t'as juste couru. t'as couru comme jamais avant, t'as poussé sur tes jambes jusqu'à ce que les muscles tirent, que tu aies envie de vomir. mais tu préférais encore ça à ce cauchemar qui te poursuivait.
t'avais fini par le semer. tu savais pas trop comment ni au bout de combien de temps, mais tu l'avais fait. t'en avais pas parlé à mama. à quoi bon ? ça ne pouvait qu'être ton imagination, ça ne pouvait pas exister pour de vrai. et pourtant tu t'es faite poursuivre plusieurs fois, par des monstres toujours différents. t'as bien fini par te douter que tu n'aurais pas dû être capable de te sauver ainsi, que quelqu'un devait veiller sur toi. t'as fini par rencontrer cet inconnu, enfin, cette inconnue. tu l'avais vu s'approcher, t'observer puis t'appeler par ton prénom. elle n'aurait pourtant pas dû te connaître, t'en étais sûre. mais voilà, elle savait qui tu étais. elle disait vouloir parler à ta mère, que seulement là elle répondrait à tes questions. et t'as vite compris qu'elle ne te laissait pas vraiment le choix.
la conversation entre cette femme et mama, tu l'as pas vraiment comprise. il y avait trop d'éléments irréels, trop de choses censées être impossible pour que tu réalises vraiment. tu savais juste qu'il fallait que tu partes, que ce serait plus sûr. que mama était d'accord, qu'elle se doutait que ça n'allait pas tarder à arriver. mais qu'elle aurait voulu que ce soit plus tard encore, que quinze ans avec toi ce n'était pas assez. plus tard, une fois que les choses furent mises à plat et préparées, elle t'a souri. un sourire triste et enjoué à la fois. tu n'aurais su dire pour les larmes dans ses yeux. puis elle a ouvert la bouche et avant même que le moindre son quitte ses lèvres, tu savais ce qu'elle allait dire.
“tu es la fille de ton père.”
alors t'es partie. t'es partie et tu as découvert Ierótheón, d'autres comme toi, une place pour toi. t'as fini par prendre les armes, t'es dirigée vers le combat. après tout, tu es la fille de ton père. mais tu es aussi bien plus que ça. tu as décidé de mener la guerre pour les autres, pour ceux qui sont à la même place qui était la tienne il y a déjà huit ans. tu es devenue un seeker, combattant les monstres de l'ancien temps pour assurer le futur des héros des temps modernes.